Au tournant de 2010…
Ce n’est plus tant les murs,
les rues, ou les places qui se donnent à voir.
C’est le tableau seul et dans son entier.
C’est le tableau comme unité,
comme composition qui propose,
dans le glissement de la lumière
et les secrets de l’ombre,
un silence propice au dialogue entre le peintre
et celui qui regarde.